« Les assistantes familiales, exclues il y a un mois du Complément de Traitement Indemnitaire (CTI), sont à présent oublié-e-s de l’amélioration du pouvoir d’achat pour les personnels de la collectivité.
Encore une fois les assistant-e-s familiaux et familiales font les frais d’une considération à part de leur profession alors que leurs conditions de travail et leur rémunération méritent la plus grande attention afin de revaloriser l’attractivité d’un métier essentiel dans le champ de la protection de l’enfance.
Tant sur le plan national qu’au niveau du Conseil Départemental de l’Hérault, la FSU n’a de cesse de rappeler ces réalités et porter des revendications en faveur de ces professionnel-le-s. Ainsi, en matière salariale, la FSU demande que les assistant-e-s familiaux et familiales profitent des dispositions liées à l’attribution du CTI au niveau national et bénéficient, au plan local, des mêmes avancées de rémunération que leurs collègues fonctionnaires dans le cadre du RIFSEEP… »